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Newsletter n°36 : La peur, la grande maladie de notre époque

Cette année qui touche à sa fin a été particulièrement éprouvante pour les enfants. Gestes barrières, masques portés à l’école, éloignement des grands-parents, culpabilisation… Jusqu’au premier ministre qui n’hésite pas à désigner sa propre fille de 11 ans comme celle qui lui a transmis le virus !


Une grande tristesse émane de ce constat qui ne prend pas suffisamment en compte les conséquences de ces attitudes dans le développement des enfants, et ce malgré les avertissements de nombreux professionnels de l’enfance.

Que faire pour minimiser l’impact de cette situation sur leur construction ?


Il y a aujourd’hui dans notre pays comme dans le monde, un taux d’angoisse et de peur anormalement entretenu. Il est difficile de comprendre et de justifier cette pression des gouvernements dans la mesure où il est avéré par la plupart des épidémiologistes, que les dernières mutations du virus sont peu dangereuses. D’ailleurs Monsieur Castex nous est revenu de sa gravissime maladie très en forme et heureusement pour sa fille, il n’en est pas mort !

Aujourd’hui, la peur du virus fait plus de dégâts que le virus lui-même. C’est à ce niveau-là sans doute que chacun peut, individuellement réagir en levant la chape d’effroi qui pèse sur les enfants. Comment ?

Dans un premier temps en ouvrant les yeux sur l’absence de dangerosité du coronavirus lorsqu’il est correctement soigné, dès le début de la maladie y compris pour les gens dits « fragiles ».

Ensuite, en se tranquillisant par rapport aux enfants qui ne sont pas en danger et qui ne font que des formes bénignes de la maladie. C’est tout de même une très bonne nouvelle dont on devrait se réjouir avec eux et dont on ne parle pas beaucoup.

Enfin, et surtout en expliquant aux enfants qu’ils ne sont pas responsables des transmissions ni de quoi que ce soit dans cette maladie. Tout au plus sont-ils les otages d’un emballement médiatique pour une maladie qui est bien moins mortelle que le cancer par exemple.


La maladie et la mort font partie du chemin de l’existence mais elles ne doivent pas envahir le paysage de l’enfant trop tôt. Notre devoir est de les protéger en affichant courage et détermination face à une maladie qui fait 0,06% de victimes et dont la moitié ont plus de 80 ans. La véritable fin de l’épidémie devrait intervenir lorsque l’on se détournera et mettra fin chacun, individuellement, à cette hystérie collective dont on a du mal à comprendre les ressorts.


Le regroupement des familles à Noël, la solidarité, le partage de bons moments dans la quiétude retrouvée, la prédominance du sacré, doivent permettre de montrer aux enfants que la peur n’a pas de prise et que rien ne viendra gâcher leur fête.


Très belles fêtes de Noël à tous


Linda Gandolfi

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